Il est alarmant et surprenant de constater la fréquence à laquelle, dans de nombreux pays aux mécanismes constitutionnels faibles, notamment sur le continent africain et en Amérique latine, la tendance persiste à maintenir au pouvoir “l’homme providentiel” qui, ayant gagné la faveur populaire pour la première fois, insiste pour rester, en modifiant la Constitution, afin d’être réélu à plusieurs reprises. À cette fin, mille et un prétextes se présentent pour réformer la Constitution, lorsqu’elle interdit une réélection immédiate. Cependant, la soumission n’est pas éternelle et à long terme, elle peut soudainement précipiter une réaction violente du peuple souverain contre l’oppresseur, la prise de la rue qui grandit et fait grossir la masse insoumise et attaque tous les symboles du tout-puissant qui humilie les citoyens.
Il est alarmant et surprenant de constater la fréquence à laquelle, dans de nombreux pays aux mécanismes constitutionnels faibles, notamment sur le continent africain et en Amérique latine, la tendance persiste à maintenir au pouvoir “l’homme providentiel” qui, ayant gagné la faveur populaire pour la première fois, insiste pour rester, en modifiant la Constitution, afin d’être réélu à plusieurs reprises. À cette fin, mille et un prétextes se présentent pour réformer la Constitution, lorsqu’elle interdit une réélection immédiate. Cependant, la soumission n’est pas éternelle et à long terme, elle peut soudainement précipiter une réaction violente du peuple souverain contre l’oppresseur, la prise de la rue qui grandit et fait grossir la masse insoumise et attaque tous les symboles du tout-puissant qui humilie les citoyens.
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